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30 août 2005

Le site est ouvert...

Bon, loin des fausses polémiques, le site de l'Homme ordinaire, des chansons de François Loz(e)t, ouvre aujourd'hui, disons, est opérationnel aujourd'hui. Quelques liens encore à compiler pour un faire une plateforme ouverte, et le tour sera joué. Le podblog, pour l'instant cantonné à diffuser et à publier des archives sera bientôt la plateforme de mise en oeuvre d'une fiction sonore au départ destinée à la radio. On va tout tester, postez-nous vos commentaires.
Posté par Estenon à 17:23
Edité le: 15 septembre 2005 9:42
Catégorie: chansons (en général), cinemas, humeurs, Japon, l'Homme Ordinaire, nouvelles, Poeting

08 septembre 2005

La luciole

Avant de passer à la réalisation sonore en feuilleton dans la zone podcast (enfin bientôt, quand nous en aurons le temps) un petit aperçu au format pdf du livret de la dramatique radio achetée un jour par France-Culture et pour l'heure à ma connaissance non réalisée... Vous en trouverez le lien dans la partie "les bonus du blog", là, juste à côté... ou en cliquant sur cette couverture... (Attention, pour 1 Mo environ...)
Couverture
Posté par Estenon à 20:42
Catégorie: nouvelles

14 septembre 2005

L'Impromptu...

Pour suivre le jeu des initiales.Une nouvelle de quinze pages - écrite il y a trois ans. Le style légèrement archaïque est dû au fait qu'elle fut écrite par un personnage de roman dont le surnom de Café était Denis Diderot. L'Impromptu de D.D ça s'appelle. Forcément. (La série de nouvelles se voulait le pendant littéraire des chansons de l'Homme Ordinaire.) Si vous vous volez un instant pour la lire, il suffit maintenant de cliquer sur sa couverture... (568k, ça va encore)...
 

Posté par Michel de M. à 8:24
Catégorie: nouvelles

25 septembre 2005

N.F.F.N.S.N.C

Vous vouliez jouer sur les initiales ? N.F.F.N.S.N.C ? Les tentatives d'un bègue à dire S.N.C.F ? Non. Quoiqu'à chaque fois maintenant forcément j'y pense... "Non Fui, Fui, Non Sum, Non Curo " - rapidement noté N.F.F.N.S.N.C - c'était inscrit sur quelques cippes de cimetière, à Rome, pour certains sceptiques ou hérétiques à la notion d'âme... "Je n'étais pas, j'ai été, je ne suis plus, et je m'en fous"... En résumé adapté traduit grosso modo... Une inscription joyeuse en somme... Pas de revenants lamentables à apaiser... Pas de tragédie du cycle... Pas de mécanique à malheur et de deuils à refourguer... Ce qui n'est plus n'a plus conscience d'être... Au rebours du langage... Il y a quatre ans, toujours dans ce recueil de nouvelles, il y avait celle-ci dont le titre avait été emprunté à une phrase de Gombrovitch dans son journal "Rien, rien au-dessus de ma tête, à part cette infinité qui galope. " Cette-fois ci, dans ce café-là, L'Espérance, ce n'était plus un faux Diderot qui s'y collait (voir l'article du 14/09), mais un prétendu Kafka - un exercice de style, un faux polar, résolu par un coup de dés, autour d'un canard chieur qui manque, d'un deuil qu'on se refile comme un furet - d'un automatisme des êtres et de l'amour... "Rien d'autre rien"... Pour le lire, le rien, c'est toujours aussi simple, cliquez sur sa couverture, et la nouveulette cherera...
 

Posté par Michel de M. à 1:21
Catégorie: nouvelles

18 octobre 2005

La narration de la perspective absente

La narration de la perspective absente, c'est un peu mon truc théorique d'écriture en ce moment : ne donner que des détails, des sensations, des impressions - sans rien dire de leur "superstructure" narrative (ce qui n'empêche pas qu'elle soit précisément écrite, mais ôtée au regard du lecteur, apparaissant en creux) cela permet de croquer quelques instants, de mêler les formes, proses, aphorismes, phrases échappées à l'échaffaudage de causes et de conséquences de l'histoire racontée (car il s'agit quand même de cela, raconter). Dans cet ancien recueil dont j'ai déjà parlé ici et , c'étaient de courtes pages qui venaient s'intercaler entre les histoires, et que j'appelais "fragments du temps", "portraits d'instants", ou "rhapsodies"... Dans le travail actuel, ce sont ces interstices qui donnent leur corps au texte, leur montage (apparitions, disparitions, rythme, contraste, fondus-enchaînés etlrst) étant quant à lui chargé de donner l'histoire qui progressivement se devine : vers où ça va, n'est-ce pas, toujours la même question. La perspective absente, notre temps...
En attendant, je mettrai bientôt en ligne le début de la plus volumineuse des nouvelles déjà écrite : "La Croisade des Dupes" ça s'appelait - exercice de style genre historique, sur la croisade de 1204, rêveries et méditations... Rêveritations...

Posté par Michel de M. à 21:05
Edité le: 19 octobre 2005 21:07
Catégorie: Les Animots, nouvelles